L’effort, le temps consacré, … nous éloignent-ils de la réussite ?
Les références de renommées mondiales montrent que la réussite est liée à un « Etat d’Esprit », pourtant les déterminants identifiés par les camerounais font appel à : L’effort, Temps consacré à ses projets, Crainte Divine, La bonne hygiène de Vie, Fait d’aller à l’étranger. L’effort ne doit donc pas renvoyer à la pénibilité, mais la compréhension de soi et à la mise en œuvre des idées qui forgent cet état d’esprit ! Il s’agirait d’un Savoir Être !Ainsi, il faudrait veiller dans l’éducation des enfants par exemple, à forger un état d’esprit de Paix et de Foi dans l’aboutissement heureux du processus engagé (Ecole, Apprentissage, Créativité et Contribution à l’Evolution bienveillante, harmonieuse da la Société). Cela pourrait assurer l’épanouissement individuel et collectif.
La grande question reste alors celle savoir comment forger cet Etat d’Esprit !
Cette articulation doit être recherchée aussi entre cette définition et la perception de la réussite. Les éléments définis dans cette perception traduisent-ils ou peuvent-ils favoriser cet Etat d’Esprit ? « Avoir une voiture et une maison » a été identifié comme un signe de réussite ; est ce que cela reflète, en général, l’Etat d’Esprit souhaité ? La question se pose aussi pour les autres faits identifiés par les camerounais enquêtés, à savoir : Être marié, Avoir des diplômes, Avoir un boulot, Avoir un poste de décision ou d’influence. Le constat au quotidien semble indiquer le contraire. Il est donc nécessaire de mener des études scientifiques pour approfondir la recherche dans le contexte camerounais. D’ores et déjà les échanges sur les vécus personnels pourraient permettre d’appréhender la dominance globale.
Selon vos constats, y a-t-il une harmonie entre la perception de réussite par les camerounais, ses déterminants identifiés et l’Etat d’Esprit souhaité ?
Commentaires récents